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il y a 3 ans
En mai 2018, je finissais par prendre une décision qui trottait dans ma tête depuis quelques années. J’avais décidé de me soumettre à une tierce personne, et j’appelais une dominatrice pour cela.
Mon cœur battait à la chamade alors que je formulais ma demande avec cette maîtresse par téléphone. Usant d’un ton sévère mais aux paroles rassurantes, elle sut me mettre en confiance et, quelques jours plus tard, je me présentais à son donjon, excité comme jamais.
Je frappais à la porte et me retrouvais nez à nez avec une dominatrice que je savais ne pas être celle que j’avais eu au téléphone, mais une de ses collègues avec qui elle officiait souvent. Elle me fit donc entrer et me déshabiller. Je m’exécutais, penaud. Puis, elle m’ordonna de me mettre à genoux et me passa un collier autour du cou, ainsi qu’une laisse. Ainsi équipé, elle m’entraina à sa suite, à quatre pattes, jusqu’à sa consœur. Cette dernière me toisa du regard à mon approche et m’ordonna de venir lui lécher les pieds. Pendant que je m’exécutais, elle me questionna pour en savoir plus sur mon goût pour la soumission.
Cette première séance, qui dura 1h30 fut riche en expériences. Ces maîtresses m’apprirent à me positionner correctement à quatre pattes, les jambes bien écartées et la croupe relevée afin de m’offrir complètement. Elles me firent découvrir comme il est peu commode de se déplacer à genoux avec les chevilles reliées par une ficelle nouée autour de mes testicules, tiraillant mes bijoux de famille à chaque mouvement. J’eus droit aussi à ma première séance d’électrostimulation, provocant des sensations incroyables. Cette séance se conclut par une formidable jouissance, debout, les bras attachés à une barre d’écartement au-dessus de ma tête et un vibromasseur dans mon fondement, mes maîtresses me triturant les seins. Après avoir déposé mon offrande de 150 euros, je pris congé, sentant qu’une nouvelle page de ma vie venait de s’écrire.
Pendant les semaines qui suivirent, je me demandai si je recontacterai cette maîtresse. Mais un mois après la première séance, je me retrouvais de nouveau devant le donjon. Cette séance fut très différente de la première mais tout aussi inoubliable. Je fus d’abord féminisé pour la première fois, puis un plug vint combler mon vide intérieur. Cette fois, je portais ma cage de chasteté. Je fus dirigé à l’extérieur de la maison. En traversant la cour sur mes hauts talons, je ne faisais pas le fier car je devais passer devant le portail d’entrée grand ouvert, avec des voitures qui roulaient et dont les occupants pouvaient donc me voir. Je fus présenté à une femme que je ne connaissais pas. Ce fut un choc pour moi, d’être ainsi exhibé. J’eus le droit de lui lécher les pieds pendant qu’elle bronzait nue sur une chaise longue. Décidant que la séance allait bientôt se terminer, Maîtresse m’enfila une couche, perça un trou derrière et me sodomisa en me faisant « sauter sur ses genoux ». Enfin, elle m’emmena dans la douche où elle entreprit de m’uriner dessus. C’était ma première expérience uro, tellement dégradante, mais tellement enivrante. Après avoir déposé la même offrande que la première fois, je quittais les lieux conquis par cette séance de 2h30.
Le 31 décembre, j’avais de nouveau rendez-vous avec ma maîtresse. Cette fois, c’est un homme que je ne connaissais pas qui m’ouvrit le donjon. J’étais troublé. Il s’agissait en fait d’un autre esclave en tenue « civile ». Il fut bientôt rejoint par un autre. Tous deux me déshabillèrent m’aveuglèrent, me passèrent une laisse et me conduisirent jusqu’au séjour où les convives étaient rassemblés. Maîtresse m’annonça à l’assemblée et je dus me présenter à genoux devant ces gens que je ne pouvais voir. Puis, elle décida de m’exhiber en me penchant sur la table à manger et en m’y attachant. Elle invita alors ses invités à venir profiter de moi en me malaxant, en me triturant les seins. Puis, j’entendis que l’on commandait à une certaine Maria (que je soupçonne d’être une travestie), de me pratiquer une fellation. Pendant ce temps, je fus doigté et je connus mon premier face-sitting. Puis, je fus ramené au donjon pour me rhabiller sans avoir pu voir aucun des convives rassemblés si ce n’était les deux esclaves qui m’avaient déshabillé 1h30 auparavant.
En février 2019, je contactais de nouveau cette maîtresse pour une nouvelle séance. Comme je venais de loin, elle me proposa un stage d’un après-midi et une nuit, avec d’autres soumis. Enthousiaste à cette idée, j’acceptai. Arrivé sur place, je rencontrai un esclave qui larbinait. Il me conduisit sans la sissy room où il me déshabilla en attendant l’arrivée des deux maîtresses. Je fus ensuite féminisé alors que les deux autres soumis participant à la séance collective arrivaient. Je fus installé, attaché, sur la chaise gynécologique, les pieds dans les étriers. C’est fout comme on se set vulnérable dans cette position. Maitresse voulait que je la regarde maltraiter les autres esclaves. Puis, vint mon tour. Elle commanda alors à son soumis actif de me sodomiser, ce qu’il fit sans ménagement. Malgré quelques douleurs, ce fut un réel plaisir de me faire ainsi pilonner. Puis, je fus détaché pour faire avec lui un 69. C’était ma première séance de sexe imposé et quelle séance. Je fus ensuite attaché à une cache pour que l’autre esclave, un travesti, m’administre une fellation. Quand la séance se termina et que je reste seul avec mes maitresses, elles m’attachèrent sur le dos à la table à manger pendant qu’elles préparaient le repas, venant de temps en temps me taquiner les chairs. Je fus ramené dans la cage pour y dormir jusqu’au lendemain matin. Après une douche dorée, je pus prendre le chemin du retour, après, bien sûr, avoir déposé une offrande de 350 euros.
La séance suivante fut un peu moins riche en émotion. Ma maîtresse étant en retard, c’est une de ses amies dominatrice qui s’occupa de moi. Je fus attaché à une cage les bras en l’air pendant un bon moment. J’eus alors droit à une fessée bien appuyée, à la main et au martinet. Puis, elle me ligota sur une table d’auscultation et entreprit de me t o r t u r e r les seins, avec des pinces équipées de ressorts qui étiraient les tétons. C’était la première fois que j’étais stimulé aussi fort au niveau des seins. Sensation délicieuse. Finalement, un esclave vint me faire une fellation et je fus ainsi libéré après avoir déposé l’offrande de 150 euros.
En décembre 2019, je retournais voir ma maitresse pour un stage de deux jours dans le sud de la France. A mon arrivée, elle me fit déshabiller et installer sur une chaise gynécologique pour m’administrer un lavement avec double bardex. C’était mon premier lavement ainsi équipé et quelle sensation ! Puis, elle me travestit et m’installa sur la table d’occultation pour m’y attacher et me préparer pour une séance d’électrostimulation. Alors que les impulsions électriques faisaient monter mon plaisir, Maîtresse me dit qu’elle avait mal à la tête et qu’elle me laissait ainsi un bon moment. C’est finalement plus d’une heure que je restais ainsi, provoquant plusieurs orgasmes ruinés. Finalement, malade, ma maîtresse me congédia.
Ce fut la dernière fois que je vis cette maîtresse qui, visiblement, n’officie plus. C’est triste car je n’oublierai jamais ces séances qui m’ont faites me découvrir.
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